dja djego!
Après 13h35 de vol entre une italienne et un yougoslave, 34 km pour rejoindre le centre ville dans un taxi et 28 minutes de cybercafé à 20 centimes d’euros, j’ai pu visiter l’appartement depuis lequel je vous écris.
En attendant la proprio, j’ai pu goûter une Quilmes (bière locale) et un steack frites qui valaient bien les 1000€ du billet! Cette fois ci, c’est sûr, après l’avoir longtemps attendu, j’y suis, le goût est tout simplement, indescriptiblement bon.
Il fait une chaleur à crever, j’ai déjà tombé le poncho, la veste, le pantalon, resorti la casquette et les lunettes de soleil, synonymes de pays ensoleillé et ensoleillant.
Le Redbull a trouvé sa place dans le frigo, à côté d’une grande Quilmes, de deux helados(glaces), et du bordel des collocs. Les collocs donc, parlons en : une argentine: Vanessa, actrice de théâtre en monologues comiques, poseuses pour artistes peintres, un argentin danseur de tango, Hugo avec qui je n’ai pas encore eu l’occasion d’échanger quelques mots, et une espagnole en vadrouille qui rentrera le 2 février. Menu de langue espagnoles donc, l’accent argentin a ses charmes, j’espère faire de la résistance avec mon accent mexicain, mais j’ai bien peur de ne pouvoir tenir longtemps..
L’appareil photo acheté in-extrémis à la fnac avant le départ a déjà fait ses premières preuves, la motivation uploadera les photos dans cet article plus tard. Petit frère du Finepix, j’ai opté pour le Z-100 chocolat à 8 millions de pixels, en espérant qu’il ne fonde pas, si vous voulez envoyez des dons, n’hésitez pas!
J’ai déjà fait débloquer mon téléphone français pour y mettre la puce movistar argentine très en vogue afin d’être connecté avec le nouveau monde. Ce soir? Qui sait ce que me réserve la capitale fédérale…
Demain j’irai faire un tour du côté de l’université (Université Belgrano), voir d’autres logements, je pense rester ici pour l’instant, tant que les cours ne commencent pas, on verra par la suite s’il est nécessaire de faire un recentrage dans les quartiers plus proches de l’uni.
Voici pour un premier contact. MSN et facebook restent grands ouverts, tout comme mes yeux qui ne filtrent pas encore la poussière ambiante mêlée aux gaz d’échappements fidèles aux grandes villes bordéliques.
Ca à l’air d’aller loulou…enjoy…enjoy…enjoy!!!
Il fait une chaleur à crever, j’ai déjà tombé le poncho, la veste, le pantalon, resorti la casquette et les lunettes de soleil, synonymes de pays ensoleillé et ensoleillant.SALO