Home sweet home
Il est trop tard pour être pessimiste.
Tout ce qu’on sait, tout ce qu’on ne veut pas croire. Il est temps de se bouger, le 5 juin, diffusion internationale de HOME de Yann Arthus Bertrand, sans copyright et sur youtube.
C’est le moment ou jamais.
à voir de préférence sur grand écran. Pour des infos de l’intérieur, allez jeter un oeil chez Isabelle de echo ecos.
Bonjour,
Je viens de passer un bon moment sur votre blog, vos articles sont sympa.
Si vous le souhaitez on peut faire un échange de lien.
A l’occasion venez voir mon blog, je suis graphiste.
N’hésitez pas à laisser des commentaires je répondrai.
Je vous souhaite une bonne continuation sur votre blog
A bientôt
http://www.nicolaslizier.com
Nicolas Lizier
Je n’ai pas de critiques à formuler sur le fond du message de yann, d’autant plus que la diffusion massive de ce film semble avoir profité à europe écologie, mais sur le forme ce film est tout de même une belle bouse : des plans sans grande inventivité appuyé par une voix off insuportable … Dans ce genre de film sur la planète sans scenario ou protagistes je lui préfère l’excellent koyaanisquatsi (avec aussi la musique de philip glass mais composé spécialement pour ce film) ou encore son descendant baraka
Merci Nicolas de ta visite et de ton commentaire. J’irai jeter un oeil à ton travail.quelqu’un : après avoir vu le film, ce n’est pas dans le message tout à fait ce à quoi je m’attendais. J’ai beaucoup aimé cet aspect historique et holistique qui permet à l’homme de se recadrer par rapport aux autres espèces, mais effectivement alors que c’est un message de réveil, j’aurai beaucoup plus attendu d’un message d’action ou de solutions. On en voit quelques unes à la fin, mais ce ne fut que réduit à mes yeux.Le plus bizarre dans cette histoire, c’est qu’une fois qu’on a pris conscience du problème, il n’y a qu’à poser des lois, mais personne ne veut le faire. Les solutions existent, il faut juste que la pression sur ceux qui doivent les prendre arrive au niveau suffisant pour qu’ils le fassent, d’où l’intérêt de faire monter la pression sur chaque citoyen.