Pensées en bordel

D’abord, en attendant d’avoir le courage de faire un chapitre 4, un jour ou l’autre, je tenais à compléter une énorme envie de … : et soit, quand je suis rentré hier soir de chez une amie, j’ai levé la tête et j’ai vu les étoiles. Bon jusque là rien d’impressionnant , sauf qu’à Paris, les étoiles, on les voit pas tous les jours, et là, j’ai eu une énorme envie, de partir loin, très loin, en petit astronaute mais également de mieux connaître la carte du ciel. Bah oui, à part la grande ourse, j’ai vite fait le tour, et c’est triste à dire mais il y a tellement à apprendre.

L’autre chose, c’est en lisant dans le train pour revenir en France "la condition humaine" de Malraux gentiment prêté par un camarade, là je me suis dit qu’il y avait un titiret à ajouter, sur l’envie de connaître plus d’expressions, d’avoir plus d’aisance à l’écrit, en effet quand je lis un  bouquin et que je trouve des trucs géniaux, j’aurai presque envie de prendre papier crayon pour les noter, et je suis envieux de l’auteur qui a une imagination débordante évidemment, là encore, c’est une énorme envie d’avoir plus de vocabulaire, plus d’expressions et plus de plus..

Autre chose, le fond a changé, c’est pas définitif, ce sera amené à changer encore, c’est juste que je voulais me démarquer du modèle de base, de base, et changer le fond blanc qui à force de journée pète les yeux. Heureusement que mes lecteurs ne restent pas trop longtemps sur le site, sinon les pauvres. Voilà donc la raison de ce petit changement.

Enfin hier j’ai repris la partition de Tiersen, et je me suis fait un de ces plaisirs, la lecture de partoche revient assez vite, et ça c’est vraiment cool. Ca faisait longtemps que j’avais pas lu une vraie partition et j’avais un peu peur, donc il faut reprendre les habitudes, réapprendre en quelque sorte, et ça a été étonament vite. Bon, si j’avais pas écouté déjà la musique 15 000 fois, je l’aurai pas en tête non plus et ça serait pas aussi fluide, mais je m’épate et je me fais vraiment plaisir. Le moulin, la dispute, comptine d’été : une après midi seront bientôt miennes.