3 réflexions sur “3 mars

  • 4 mars 2008 à 0 h 15 min
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    1 an de plus et aussi 1 an de moins. On a tous une date de début et une date de fin, on aimerait oublier la date de fin mais elle fait aussi son charme et nous pousse à nous accomplir, comme un devoir de pérennité, on vivra et on donnera la vie pour honorer ceux qui ne sont plus.
    Il serait fière de toi tu sais, le tps ou tu sautais à pied joint dans la flac d’eau est bien loin, aujourd’hui, tu ramasses les goûtes pour faire une flac bien plus grande parce que tu sais que c’est plus rigolo quand la flac est plus grosse.
    « The end » dans les oreilles, je pense qu’il doit être quelque part dans l’horizon, peut être la-bas au dessus de cette montagne que tu pointes du doigt sur la photo. Néanmoins, l’endroit ou il restera à jamais le plus présent reste dans ton coeur et dans nos esprit.
    Tu me manques ici, j’aimerai bien accéléré le tps mais en même tps ça voudrait dire moins de tps pour les révisions et les préparations concours!
    Si t’es opé et pas trop occupé en août je passerai peut-être goûter à l’accent argentin.
    J’espère que ta première journée de cour était sympa et l’occasion de rencontrer une demi centaine d’hollandaise! X-)
    La bise mintcho picou

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  • 20 mars 2008 à 15 h 07 min
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    Coucou petit Etienne!
    Pas ton texto furtif, arrivé très tôt, j’avais compris que tu partais en Argentine. Ce fut pour moi deux surprises; la première étant ton départ en lui-même, la deuxième étant le fait que tu me contactes pour me le dire! Cela m’a fait plaisir, et crois bien que si je pars en Argentine, je mettrai un point d’honneur à te le signaler.
    Je pense, te connaissant, que tu vis des choses géniales : et cette supposition me suffira. Ton blog est nämlich comme un gros livre qu’on considère comme faisant partie des classiques : on se dit qu’on doit le lire, on se jette plusieurs fois dessus, et en fait, trop de texte à notre goût, on se contente de regarder les images en se disant que, « vraiment, ça a l’air bien, ce sera sans aucun doute pour la prochaine fois… ».
     
    Je pense à toi parfois comme un ami intéressant qui m’apportait et avec qui je n’ai pas envie de perdre le contact.
    A plus, bisous.

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